Nous sommes convaincus depuis longtemps des bienfaits de la récupération d’eau de pluie pour faire face à la sécheresse et limiter les dégâts liés aux intempéries. La raison ? Le volume global des précipitations évolue peu, mais les épisodes pluvieux sont plus espacés et plus violents. Les travaux de recherche du P.J. Durack et ses collègues de l’Université de Tasmanie (voir http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2012/04/27/004-changement-climatique-pluie.shtml ) confirment cette tendance.
De fait, le récupérateur d’eau de pluie agit comme un réservoir « tampon », qui absorbe les pics et libère l’eau entre les événements.